Conférence du 5 octobre 2018

Sortir des limitations de sa vie, par la magie des Bars® d’Access Consciousness™

Gary Douglas, un américain, a trouvé par intuition, il y a environ 30 ans des points situés au niveau de la tête qui correspondent à tous les aspects de notre vie : la joie, la tristesse, la créativité… Il s’est rendu compte que lorsqu’on active ces points de façon symétrique en polarité, cela crée une barre électromagnétique qui a la possibilité de dissoudre toutes les cristallisations, les solidifications, les points de vue fixes, les conditionnements dans lesquels nous nous sommes nous-mêmes gentiment enfermés comme dans une prison.

Cette modalité de libération des mémoires cellulaires qui s’appelle les Bars® d’Access Consciousness™ est pour moi une approche énergétique qui rend les gens heureux, facilement, profondément. Je la pratique et l’enseigne depuis 2015.

En 2015, à l’issue de ma première journée de Bars®, j’ai été comme prise dans un tourbillon de déclics successifs, tant professionnels que personnels… J’ai commencé à me reconnaître de véritables talents pour parler en toute aisance de mon activité, j’ai osé m’exprimer au travers de la peinture et de l’écriture aux yeux du monde… Bref des changements pour le moins inattendus sont survenus et aujourd’hui encore, à chaque jour son lot de grandes et merveilleuses aventures en poussant la porte des possibilités et du choix!

Si par cet article, je peux vous donner l’envie de libérer tous les nuages (jugements, mémoires, pensées parasites) qui empêchent de laisser émerger et de faire rayonner votre soleil intérieur, qui n’est autre que la conscience (VS pilote automatique) alors ma démarche sera une vraie contribution.

C’est comme dans la nature, le soleil est toujours là et pourtant parfois on ne le voit pas. Est-ce que cela veut dire qu’il n’est plus là? Non. C’est simplement que des nuages le cachent et il suffit que ces nuages partent pour que le soleil réapparaisse. Il a toujours été là.

On a tellement pris l’habitude de trouver normal d’être malheureux que l’on s’en donne des justifications permanentes ou presque. On a une sorte d’addiction aux drames, au pathétique qui fait qu’on s’en imprègne comme quelque chose de normal. D’ailleurs, le journal télévisé de 13 ou 20h en est une bonne représentation! A quand le journal télévisé des bonnes nouvelles! De la même façon, observez autour de vous comment les gens se connectent entre eux… Entendez-vous souvent des personnes vous dire « Waouh, je suis tellement heureux dans ma vie, j’ai tellement de choses qui vont bien »

Or il y a un autre chemin, un chemin vers plus d’autonomie… Celui de l’accès à la conscience (à toujours plus de conscience) = l’approche d’Access Consciousness™.

En fait notre mental est devenu notre chef, le dirigeant de notre vie alors même qu’il devrait être notre serviteur. Nous sommes toujours en train de réfléchir, d’analyser, de juger (c’est bien/c’est mal, c’est juste/c’est faux…). Notre mental nous ramène très souvent dans le passé et avoir des regrets ou nous projette dans le futur et avoir des peurs… C’est monsieur « ne fais pas ci / ne fais pas ça », « tu devrais faire ci /tu devrais faire ça », « tu t’es trompé, comme tu es nulle, quelle erreur dramatique tu as faite »… et bien d’autres ritournelles! Nous ne nous plaçons que très exceptionnellement pour la plupart d’entre nous dans l’instant présent, cette capacité à apprécier les choses qui sont là dans notre vie. Or une des première clé du bonheur, être à la bonne heure, c’est apprécier l’instant présent quel qu’il soit. Un mantra chez Access Consciousness™ est « tout de la vie vient à moi avec aisance, joie et gloire® ». Tout car la conscience inclut tout et ne juge rien.

On pense être libre et en fait pas du tout. Notre cerveau est comme un disque dur sur lequel sont gravés des programmes qui proviennent de la naissance, de la petite enfance, des générations antérieures. On est formaté avec tout plein de systèmes de croyances et de pensées limitantes et tout ce que l’on pense va devenir notre réalité. Les plus gravées dans notre inconscient sont « la vie est dure », « il faut travailler dur pour y arriver », « l’argent ne fait pas le bonheur »… Et il n’est pas possible d’évoquer une vie plus simple, plus facile sans passer pour un huluberlu qui vit au pays des bisounours et être sujet à commentaires tels que « redescends sur terre » « tu planes »…

Une des clés principales de cette approche est donc de faire un véritable « reset » de notre disque dur interne, changer nos programmations mentales. Si l’on veut un changement dans notre vie, il ne s’agit pas d’attendre le changement extérieur à soi. Notre vrai problème à cela sont nos résistances, or ce à quoi on résiste, persiste! et cela fait souffrir!

Une autre clé est donc comprendre qu’il faut sortir du jugement, cette espèce de maladie mentale organisée qui nous place toujours dans le jugement, la dualité, des autres, de soi, des évènements ou situations. Les jugements que nous portons sur nous-même, nos voisins, nos amis, notre famille, notre gouvernement… sont des vibrations, qui deviennent des certitudes. Einstein disait « Nous sommes des antennes qui émettons une fréquence vibratoire qui va attirer des évènements, situations ou des personnes en correspondance avec cette vibration ».

Autrement dit, nos pensées créent notre réalité, et c’est plutôt une bonne nouvelle dans la mesure où cela signifie que nous sommes créateurs de notre vie et si nous avons créé des choses qui ne fonctionnent pas pour nous, nous sommes toujours en mesure de les décréer et ainsi sortir du triangle victime/bourreau/sauveur. Nous avons le choix, nous poser comme victime et ne se donner aucun pouvoir ou comme responsable créateur et retrouver notre pouvoir. On a reçu le tort de soi en héritage, or nous sommes des cadeaux, nous sommes des êtres uniques, infinis même si souvent, les personnes ne le reconnaissent pas comme tels. Chacun d’entre nous a une couleur, un parfum unique à offrir au monde, un talent, des capacités bien distinctes de celles  de nos parents, voisins ou amis. Nous ne sommes pas obligés de rester dans la dualité du bien/mal, correct/incorrect, juste/faux, il est temps de créer d’autres circuits neuronaux qui ne sont ni pour ni contre.

Nous avons suffisamment d’informations, notamment en matière de physique quantique, aujourd’hui pour savoir que nous pouvons changer notre vie et qu’en changeant notre vie, nous pouvons changer le monde. Le monde est le reflet vibratoire de ce que nous portons en nous. Nous sommes comme les cellules de l’humanité.

Avec les Bars®, ce qui est impossible pour le mental, est vrai pour ceux qui l’ont expérimenté. Ne me croyez surtout pas, expérimentez! La personne qui vous donne ce protocole d’environ une heure ne peut savoir intellectuellement quelle est ou quelles sont les mémoires qui vont se libérer en priorité et on s’en moque. Avec cette approche, on n’a pas besoin de se demander quoi faire ou quoi changer, on ne mentalise pas, on n’intellectualise pas. La manifestation du changement va se faire à notre insu et pas toujours sous la forme que l’on attend.

Une autre clé est l’art de poser des questions, ouvertes, sans attendre de réponse en utilisant le champ vibratoire, pas le mental car le mental est limité, il ne fonctionne qu’avec ce qu’il connaît ; des questions telles que « quelles sont les infinies possibilités pour que ma vie deviennent….(à vous de compléter)? » « Quoi d’autre est possible ici? » « Comment cela devient encore mieux que cela? ». C’est ce qui s’appelle l’intrication quantique ou selon K. Jung, la synchronicité. L’univers conspire pour nous, il est toujours là, il n’y a qu’à demander pour recevoir « Que faudrait-il pour… » Plus on vit de synchronicités (en acceptant d’être une question ambulante) plus on crée de possibilités nouvelles par de nouvelles prises de conscience et ces prises de conscience amènent à faire des choix différents et cela marche à l’infini…

Dispenser ou transmettre ces outils, c’est rendre les personnes plus conscientes, plus autonomes dans leur changement. Un proverbe qui illustre à mon avis très bien cela « Si quelqu’un a faim, ne lui apporte pas de poisson, apprends lui à pêcher ».

 

Améliorer son sommeil ou comment gagner de l’énergie et du temps

Répondre à une problématique de sommeil n’est pas chose aisée. Nous sommes, comme je le répète très souvent, des individus uniques et ce qui est bon pour notre voisin ne s’applique pas si simplement à soi-même !

C’est ce que j’appelle notre biochimie individuelle. Aussi, faut-il bien se connaître et expérimenter ce qui est bon et juste pour nous alors… à chacun de jouer !

 

 

1 – Mangeons mieux

  • – Préférer un dîner riche en glucides et pauvre en protéines : Attention les aliments à indice glycémique élevé sont à bannir (pain blanc, céréales raffinées ou sucrées, chocolat, sucre, pâtisseries…) au profit des aliments à indice glycémique bas (pain aux céréales, pain complet, céréales entières, légumineuses, légumes…)
  • – Privilégier un dîner léger, non épicé et pas trop tardif
  • – Eviter les boissons alcoolisées et contenant de la caféine : l’alcool peut favoriser l’endormissement pour certains mais il déstructure totalement le sommeil !

2 – Gérons notre stress (phytothérapie, relaxation, respiration…)

3 – Aérons-nous tous les jours au moins 20 minutes

4 – La phytothérapie à notre secours, à tester : l’angélique, la passiflore, la valériane, la camomille (…)

5 – Respectons notre rythme : J’ai expérimenté pour vous ce qui suit…

  • Qu’est-ce qu’un cycle de sommeil ? C’est une période d’environ 1h30 qui comporte différentes phases : l’endormissement (15 min), une phase de sommeil lent léger et de sommeil lent profond (60 à 75 min), une phase de sommeil paradoxal (15 à 20 min), une phase de latence qui débouche soit sur un nouveau cycle soit sur le réveil.

Une nuit comporte 4 à 6 cycles.

  • Commencer par un repérage : En pratique, il s’agit de reconnaître sur quelques jours sa propre cyclicité : on note l’heure des premiers signes d’envie de dormir (les yeux qui clignotent, le bâillement peut-être, un relâchement musculaire…) et notre heure véritable de coucher et de lever (avec ou sans réveil,  la semaine comme le week-end). Il est également intéressant de spécifier l’impression de bon ou mauvais sommeil, de fatigue ou non au lever. Nous identifions ainsi également notre besoin de sommeil (entre 6 et 9h).
  • Respecter son besoin et ses cycles de sommeil : Partons de l’hypothèse que nos cycles durent 1h30,
    • – si nous devons nous lever à 6h30 pour être à l’heure pour l’école, le travail… Nous devons être endormis à 21h30, 23h ou 0h30 en fonction de notre besoin et en respectant nos cycles.
    • – si nous repérons qu’à 22h30 les premiers signes se font sentir… afin que nos cycles soient respectés, nous devrons nous lever à 4h30, 6h ou 7h30 selon notre besoin. Dans cet exemple, si nous avons la même contrainte d’heure de lever, 6h30, nous gagnons une demie-heure de temps…

Que pouvons-nous faire avec ce temps gagné? Mettre en place un petit rituel (méditation, gym douce ou énergétique et étirements…) A vous de jouer!

  • Le(s) secret(s) pour dormir mieux :
    • – Ne pas oublier le temps d’endormissement, environ 15 minutes,
    • – Ne pas s’endormir pendant un cycle : si la fatigue s’est fait sentir il y a trente minutes, attendre 45 minutes supplémentaires -en comptant l’endormissement, le cycle d’1h30 sera passé- pour aller au lit et dormir au bon moment.
    • – Les phases de sommeil lent profond sont les plus réparatrices. Elles sont d’une plus longue durée sur les premiers cycles de sommeil.
    • – Mieux vaut dormir le temps de 4 cycles (6h) plutôt que de couper un cycle en cours de route pour dormir 8h ! Dormir plus n’est pas dormir mieux!

Complément d’information dans cet e-book : les secrets d’un sommeil réparateur

Pour ma part, j’ai expérimenté ce nouveau sommeil grâce à un article posté sur le site Ça se saurait.fr

Une dernière chose, un organisme qui n’est pas réparé par un sommeil de qualité, par instinct de survie va demander plus de carburant… vous vous demandez lequel?… Le sucre bien-sûr !!!!! faites-en la bonne déduction!

Nos émotions en lien avec notre façon de nous alimenter

Je vais vous poser une question : n’avez-vous pas un souvenir petit/petite, d’avoir reçu une douceur, une friandise ou tout autre chose pour vous consoler d’un chagrin ou encore pour atténuer une colère ou un caprice ?

Je suis naturopathe et si je devais donner une définition de mon activité au quotidien, ce serait : vous donnez la conscience de votre responsabilité, de votre rôle acteur en ce qui concerne votre hygiène de vie et de vous aidez à prendre soin de vous, en portant attention à votre corps et à votre esprit… Ne dit-on pas « un esprit sain dans un corps sain » ? C’est la base de la formule magique !

Régulièrement, je suis sollicitée pour accompagner des personnes dans une démarche de perte de poids… et là, je vous assure que la réussite de la démarche est de mettre en accord l’esprit et le corps ! Vous avez sans doute déjà testé de faire un régime, non ? Vous avez sans doute perdu du poids, peut-être même atteint l’objectif que vous vous étiez fixé, mais après ? Dans la plupart des cas, vous avez repris du poids et peut-être davantage ! La raison de cet échec tient dans le mot régime. Par ce mot, vous placez votre esprit en mode contrôle ou scientifiquement dit, en restriction cognitive.

La restriction cognitive, c’est l’intention de contrôler mentalement son alimentation dans le but de maigrir ou de ne pas grossir. Tous les régimes amènent à la restriction cognitive et engendrent dans un premier temps une perte de poids et donc une amélioration de l’estime de soi.

Mais la plupart du temps, ils excluent de votre alimentation, les aliments plaisir, et apparaissent alors des émotions comme la frustration, l’anxiété, la peur du manque… A ce moment là, le moindre grain de sable dans votre quotidien met en péril très facilement ce processus de contrôle et lorsqu’il y a perte de contrôle, de nouvelles émotions entrent en jeu, telles que la culpabilité, la dévalorisation, la déprime ou encore la perte de l’estime de soi.

Cette perte d’estime de soi va vous faire focaliser à nouveau sur votre problème initial, le poids et c’est le cercle vicieux…

Votre comportement face à l’alimentation devient alors une oscillation entre des moments de restriction et des moments de perte de contrôle.

Vous vous rendez compte alors, que l’effet yoyo (la tendance à la prise de poids) n’est que la partie visible de l’impact des régimes successifs sur le corps. L’effet des restrictions existe aussi au niveau de vos émotions avec la privation, qui engendre la frustration, la peur de craquer et des obsessions de peur de perte de contrôle, de la culpabilité, de la démotivation… bref, un véritable cauchemar.

Il faut comprendre que vous êtes un tout, complexe, avec une histoire, des besoins et des ressentis qui vous sont propres.

Il est donc indispensable de prendre en considération certains facteurs, dont voici les principaux, qui peuvent agir dans l’ombre et vous éloigner du chemin de la réussite :

  1. En référence à ce qui a été expliqué précédemment, le premier, vous l’aurez compris, est l’effet pervers de la restriction cognitive : la privation amène des émotions bien particulières (culpabilité, démotivation, perte estime de soi…)
  • Cessez d’être dans le contrôle et réapprenez à lire les messages de votre corps (la sensation de faim, la satiété, le rassasiement, indices repères pour prendre les bonnes décisions pour réguler et ajuster vos apports caloriques à hauteur de vos besoins). Prenez donc le temps et l’habitude de partir explorer ce qui est présent pour vous, à l’intérieur de vous, afin d’identifier, ressentir et localiser ces sensations de manière à faire les choix les plus justes.
  1. Le stress : il modifie les équilibres, nerveux et hormonal de votre organisme, la chimie du corps et impacte votre réactivité émotionnelle. Avec le stress apparaissent la colère, l’anxiété… et du coup en parallèle, il modifie votre façon de manger : vous mangez de façon plus rapide ou bien encore vous vous orientez vers des aliments plus gras ou sucrés.
  • Apprenez à lâcher la pression, utilisez des outils de gestion du stress et des outils qui aident à ne pas activer les mécanismes du stress. Devenez un expert en zen attitude !
  1. La peur des émotions : en fonction de votre histoire (choc émotionnel, traumatisme…) ou par peur de laisser place à vos émotions car vous ne savez pas ce qu’il va se passer, pour vous ou pour les autres même, vous fuyez vos émotions en mangeant ; c’est comme si pour vous sentir protégé(e), vous mangiez vos émotions.
  • En douceur, acceptez de faire connaissance avec vos émotions, rentrez en contact avec elles pour les découvrir, les identifier, les ressentir et ressentir leurs manifestations Dé-diabolisez vos émotions. Apprenez à être en amitié avec vos propres émotions.
  1. La compensation: si vous pensez ne pas avoir pu accéder à des choses importantes pour vous comme la prise en considération de vos besoins, de vos attentes comme le besoin d’affection, le besoin de prendre du temps pour soi…, c’est ce sentiment intérieur d’attente, de manque, de vide qui cherche à être comblé et l’est souvent par l’alimentation.
  • Identifiez la nature du manque ressenti et petit à petit apprenez à vous offrir ce qui vous semble important pour vous, devenez autonome et ne soyez plus dépendant(e) de votre environnement et des autres pour trouver une réponse, pour sentir que vous nourrissez ce qui est important pour vous.
  1. Les déficits nutritionnels : Une alimentation non diversifiée ou pas suffisamment diversifiée ne permet pas d’apporter les nutriments essentiels à l’organisme… A ce moment-là, les besoins de l’organisme ne sont pas satisfaits et c’est lui-même qui vous pousse à manger.
  • Apprenez à changer vos habitudes en respectant votre personnalité, choisissez une façon de découvrir de nouveaux aliments, en créant des conditions plaisir c’est à dire en vous respectant.
  1. Le dernier et non le moindre sont les bénéfices secondaires de l’échec : sans jugement, essayez de les identifier, posez-vous la question de quels sont les avantages de cette situation qui perdure et trouvez le moyen de les satisfaire autrement que par l’alimentation.

Mettre en lien l’alimentation et nos émotions directement ou indirectement n’est pas mince affaire… Votre volonté seule n’est finalement pas en cause ; vous êtes la bonne personne pour agir pour… et non pas pour aller contre !!!!

La solution proposée par la naturopathie est de ne plus parler de régime mais de rééquilibrage d’hygiène de vie et d’atteindre ainsi durablement l’objectif fixé en travaillant sur votre motivation, (être au clair avec ce qui est important pour vous), en travaillant sur la régulation de vos sensations alimentaires, (repères indispensables pour être guidé(e) et prendre des décisions justes par rapport à vos besoins), en utilisant des outils qui vous aideront à sortir des automatismes qui amènent à reproduire toujours la même façon de vous alimenter, en travaillant sur la gestion émotionnelle et tout ça, dans le cadre d’une alimentation plaisir.